Victoria.
- Messages : 1356 - Pseudo : Hastings/Victoria.
| Sujet: pretty/little/liar. (alison) Ven 26 Oct - 6:43 | |
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ALISON WALDORF AVATAR @DIANNA AGRON CRÉDITS @RORY-AMELIA, TUMBLR. - NOM Waldorf. - PRÉNOMS Alison Constance Olivia. - SURNOMS Ali. - ÂGE Vingt-trois ans. - DATE ET LIEU DE NAISSANCE née à Hamptons Field (Pennsylvanie) le 1er janvier 1989. NATIONALITÉ - Américaine. ORIGINES - Anglaises. - STATUT CIVIL Fiancée. - MÉTIER/OCCUPATIONS Organisatrice d'événements. - SITUATION FINANCIÈRE Aisée. - CARACTÈRE Perfectionniste, despotique, courtoise, dédaigneuse, curieuse, revancharde, ordonnée, possessive, rusée, imprévisible, joueuse, égoïste, obstinée, sarcastique, fidèle, capricieuse, observatrice, rancunière, utopiste, manipulatrice, naïve, égocentrique. - QUARTIER Rosewood. yesterday's trashs, tomorrow's news.Techniquement, Waldorf n'est pas le nom de famille qu'elle est censée utiliser. Cependant, celui-ci apparaît bien sur son passeport. ~ Le mensonge est un domaine dans lequel elle excelle à la perfection. ~ Elle a tendance à user du sarcasme comme mécanisme de défense. ~ Elle vit dans un monde bien à elle dit utopique où ses désirs doivent en somme être pris pour des ordres, et ses rêves pour des réalités. ~ Sa famille compte énormément à ses yeux. ~ Sa meilleure amie est décédée il y a un peu plus d'un an. ~ Après son décès, elle est allée vivre à Manhattan où elle y a fait la rencontre de son actuel fiancé, techniquement futur mari dont elle doute de plus en plus la fidélité. ~ Elle est revenue à Hamptons Field dans le but d'annoncer ses fiançailles mais également de s'y réinstaller. ~ La jeune femme commence peu à peu à développer une sorte de maladie psychosomatique affectant ses mains qui, souvent, se mettent à trembler de manière subite au point de perdre tout contrôle de ce qu'elle était en train de faire. Il semblerait que la maladie se fasse l'écho d'un état d'angoisse voire de détresse morale, bien qu'Alison elle, n'en croit pas un mot. ~ S'il y a bien une chose que l'on peut retenir à son sujet, c'est son comportement assez étrange. Il est souvent compliqué de savoir ce que la jeune femme pense réellement lorsqu'elle est en train de parler et peut changer de sujet au beau milieu de sa phrase si bien qu'il est assez difficile de la suivre. ~ Elle déteste ne rien faire. ~ Elle a horreur des gens qui font du bruit en mangeant. ~ Noël est sans conteste sa fête préférée. ~ En revanche, elle déteste fêter le nouvel an. ~ Exécrable cuisinière, elle serait capable de rater un plat de pâtes. ~ Être parfaite l'obsède complètement. ~ Elle est protestante et n'a quasiment jamais manqué une seule messe dominicale de toute sa vie. ~ Elle n'a lu de la Bible que la Genèse et en a particulièrement honte. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle personne ne le sait. ~ La cuisine italienne est de loin sa préférée. ~ Au restaurant, l'ordre de ses repas est inversé. Ainsi, elle commence toujours par le dessert. C'est une tradition qu'elle partage avec son père depuis toute petite. ~ Elle était autrefois très complexée par son nez. Ce complexe semble avoir plus ou moins disparu. ~ Sa couleur préférée est le Tiffany Blue. ~ L'entreprise de son futur beau-père étant actuellement sur la paille, ce dernier a quelque peu forcé son fils à demander la main d'Alison. Le père de celle-ci est néanmoins au courant. Malheureusement, tout ça ne se trouve être que la partie émergée de l'iceberg. Éperdument amoureuse, elle ne se doute pas une seule seconde du complot qui se trame autour d'elle et son mariage. imdb page.- Spoiler:
PSEUDO/PRÉNOM ~ Victoria/Everlark. ÂGE ~ 18 ans. FRÉQUENCE DE CONNEXION ~ 7/7. SCÉNARIO/INVENTÉ ~ Inventé. RPS ~ français/anglais. COMMENTAIRES ~ Four for you Glen Coco, You go Glen Coco.
Dernière édition par Alison Waldorf le Ven 16 Nov - 2:29, édité 7 fois |
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Victoria.
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| Sujet: Re: pretty/little/liar. (alison) Jeu 1 Nov - 5:04 | |
| - Citation :
- So after, when he whispers,
"You love me. Real or not real?" I tell him, "Real." Je ne bouge pas. Je reste là assise au beau milieu du salon à sombrer dans la pénombre que supporte cette pièce qui comme le reste du monde me paraît sans espoir, où le temps semble s'être arrêté et dont l'odeur infâme de la solitude et du tourment règne tristement. Le regard vide, les jambes repliées contre moi, j'écoute le ciel pleurer depuis des heures. Je serre ma tasse au creux des mains et constate que la chaleur de l'infusion s'est dissipée certainement depuis un moment déjà dans l'air glacé. Soudain, un hurlement. Un cri, strident, à vous glacer le sang tant il transpire la douleur. Il me paraît empreint d'une telle souffrance que j'en laisse ma tasse me glisser des mains. Je ne cille pas. La télévision, alors seule source de lumière, attire mon attention et finit brutalement par me ramener à la réalité. Un mois, me dis-je. Trente-et-une nuits, trente-et-un cauchemars, quatre semaines à rester éveillée, 1355 heures interminables, 44721 minutes à ressentir un vide. Profond. 2683278 secondes à essayer de comprendre ce qui a bien pu arriver. En vain. |
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