LEWIS MATTHEWS
AVATAR @JENSON BUTTON
CRÉDITS @SEPARATETABLES. - NOM Matthews - PRÉNOMS Lewis - SURNOMS Il n’a pas de surnom, il n’aime pas ça. - ÂGE 32ans. - DATE ET LIEU DE NAISSANCE 24/01 à Londres. NATIONALITÉ - Britannique. ORIGINES -Britanniques. - STATUT CIVIL veuf et père d’une petite fille de 8 ans : Elle. - MÉTIER/OCCUPATIONS Professeur de droit et avocat. - SITUATION FINANCIÈRE plus qu’aisée, il a hérité de toute la fortune de sa femme à son décès. - CARACTÈRE intelligent, borné, déterminé, perfectionniste, maniaque, sensible, pacifiste, débrouillard, tolérant, compréhensif, loyal, amical, avenant, discret quant à sa vie privée, honnête, altruiste, généreux. - QUARTIER Rosewood Lane.
yesterday's trashs, tomorrow's news.Sa femme est décédée il a quelques mois, des suites d’une longue maladie. Il vit très mal le décès mais cherche à sourire malgré tout pour que sa fille ne craque pas. – Il a décidé de mettre son implication dans la justice entre parenthèses ces derniers temps : il préfère se cantonner au travail de professeur – Il voit un psy une fois par semaine – Il a hérité de la fortune de sa femme qui était une actrice connue – Il parle trois langues couramment : l’anglais, le français et l’allemand. – Il a quitté l’Angleterre quand il avait 18 ans, par amour parce qu’il était convaincu que sa future femme était la femme de sa vie, et il ne s’était pas trompé. – C’est à Harvard qu’il a fait des études de droit. – C’est un passionné d’automobile et il fait du karting régulièrement. – Il protège beaucoup sa fille et même lorsqu’elle fait une bêtise, il a du mal à la réprimander – il prête que peu d’attention à son téléphone, en revanche il consulte ses mails tous les jours au cas où ses élèves aient une question concernant un cours. – Il est rarement bien rasé – Il est fan de la série Dexter – Il a un petit accent britannique qui fait son charme. – Il lit beaucoup, et quand il n’aime pas un bouquin, il s’efforce toujours de le finir parce qu’il est convaincu qu’un auteur peut toujours le surprendre – En bon avocat, quand il parle de quelque chose, il argumente toujours beaucoup, des fois trop, ça saoule son entourage. – Il adore les framboises, il pourrait en manger sans arrêt. – Il ne boit pas de thé, et pourtant il est anglais. Il préfère le café. – Il a parfois des idées saugrenues, mais impossible pour lui de s’arrêter en chemin, il finit toujours ce qu’il a commencé. – Il est très bricoleur – Il fait beaucoup de running, et participe à des courses – Il a sa carte de donneur d’organes. – Sa fille est une actrice très douée comme sa mère, mais pour l’instant il ne lui autorise que les pièces de théâtre. – Sa maison était autrefois pleine de photos du couple qu’il formait avec sa femme, il les a récemment retirées pour éviter de repenser au drame. – Il donne tous les mois de l’argent à une fondation pour la leucémie.
pretty little picture.Ca faisait tout juste une semaine qu’elle était partie. Il y avait un grand vide à la maison. Ces derniers temps, j’avais passé tout mon temps libre à m’occuper d’elle, à faire en sorte qu’elle continue de sourire malgré le diagnostic sans appel des médecins. Elle m’avait dit que même si sa vie avait été courte, elle avait eu tout ce dont elle avait toujours rêvé : un beau mariage avec l’homme de sa vie, et une adorable petite fille en plus d’une carrière incroyable qui l’avait poussée sous les feux de la rampe elle qui était autrefois qu’une fille banale. La vie est injuste. Comment peut-on donner des ailes à quelqu’un et les lui ôter en plein vol ? On m’avait arraché une partie de moi, on avait pourtant tout fait. Avant de s’endormir pour l’éternité, elle m’avait signalé l’existence d’une lettre qu’elle cachait dans la commode, et qu’elle souhaitait que je lise quand j’en aurais le courage. Perdu, assis sur le lit, ma fille endormie dans mes bras, épuisée de passer ses journées à pleurer la disparition soudaine de sa mère, j’avais finalement pris la décision de lire cette lettre. C’était très poétique à lire, mais au fur et à mesure des lignes, mon cœur se serrait, et mes larmes coulaient sans interruption. Je n’étais plus rien sans elle. Mais il fallait poursuivre le combat, ne pas s’écrouler, parce qu’Elle n’avait que 8 ans et avait besoin du soutien de son père. A la fin de la lettre, il était précisé que tout nous revenait de droit et qu’elle voulait que j’en fasse ce que je souhaitais, sans se soucier de ce qu’elle aurait fait de tout cet argent. Pourquoi était-elle partie ? J’en avais que faire de son argent, je voulais qu’elle soit là avec nous. Les funérailles se tiendraient demain, des personnalités en tous genres viendraient honorer sa mémoire, mais ils ne savaient rien d’elle, elle était merveilleuse, et pas seulement dans son travail. Il n’existait au monde personne qui puisse lui arriver à la cheville. Essuyant mes yeux, c’est à ce moment qu’Elle émergea de son sommeil, toujours blessée par la tragédie.
« Daddy, tell me that it's not true, that Mommy is coming back to us… » Et elle repartit en sanglots. La dorlotant tant bien que mal, je ne pouvais pas faire mieux, j’étais dans l’incapacité de lui dire quoi que ce soit de constructif.
« Mommy is still watching over you, sweetheart. She loves you so much, she wants you to be strong. » Lui passant une main dans sa chevelure dorée, je la blottis contre moi, et Elle prononça ces mots :
« Can you still talk to her? What else does she say? » Ma fille était l’innocence même. Il fallait qu’elle continue de croire en ce souvenir de sa mère, et c’est pourquoi je lui répondis :
« She says that she's the proudest mom in the world, she will always be. » Que pouvais-je dire d’autre ?
***
Ma femme m’avait bien dit dans la lettre de ne pas l’attendre jusqu’à ma mort, qu’il fallait que je passe le cap et que je réapprenne à vivre. Elle disait qu’elle me sentait capable d’aimer quelqu’un autant que ce qu’elle avait pu être aimée et qu’elle savait que je ferais les bons choix. Je ne savais pas si ce que j’avais fait faisait office de bon choix. J’avais besoin de combler le vide dans ma vie, je ne me sentais pas capable d’assumer mon rôle de père dans mon état, alors je m’étais dit que je pouvais fréquenter quelqu’un en lui rendant service, sans être vraiment en couple, ne serait-ce que pour ne pas imposer une nouvelle vie à ma fille, Elle. Alors, ça faisait un petit moment que j’officiai en tant que ‘Sugar Daddy’. Pas vraiment fan de l’appellation, je servais de carte de crédit ambulante en échange de compagnie féminine. La jeune fille était plus jeune que moi d’environ une dizaine d’années, mais le concept me convenait puisqu’au fond, ça ne m’engageait en rien, et le jour où j’en aurais assez je n’aurais qu’à lui dire. Je ne posais pas trop de questions à Bethany, je ne voulais pas savoir ce qu’elle faisait de l’argent que je lui donnais, elle avait l’air d’être quelqu’un de bien. Je gardai en revanche tout cela sous silence, je ne voulais pas que cette pseudo-relation arrive aux oreilles de ma fille, d’autant plus que ça faisait également partie du marché entre Bethany et moi. Quant à Elle, je considérai ce choix comme bénéfique pour elle, afin de pouvoir mener une vie moins déprimante et prendre le temps de lui redonner gout à la vie.
imdb page.- Spoiler:
PSEUDO/PRÉNOM ~ Sean. ÂGE ~ 21ans. FRÉQUENCE DE CONNEXION ~ variable. SCÉNARIO/INVENTÉ ~ inventé. RPS français/anglais COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM? ~ Par Bethany (Pénélope). COMMENTAIRES ~ écrire ici.